love u lovecraft (labO)

The Other Theatre se laisse envoûter par le monde de HP Lovecraft et exprime un peu d’horreur, un peu de peur. La disparition mystérieuse d’une jeune fille, les souvenirs brisés d’une mère, des prophéties, des jardins secrets, des jeux dans la forêt : autant d’histoires qui parlent de ce que l’on ne peut connaître, de ce que l’on ne peut nommer. Dans le cadre de son processus créatif, The Other Theatre invite le public à prendre part à un laboratoire d’une semaine pour pénétrer dans un monde désarticulé hors du temps. En anglais et en français. En collaboration avec Infinithéâtre.

Galerie

ÉQUIPE DE CRÉATION

love u lovecraft [labo] | une création collective

Mise en scène : Stacey Christodoulou

Avec :

Scénographie

Amy Keith

Costumes

Marija Djordjevic

Éclairages

David Perreault Ninacs

Direction de production et direction technique

Richard Piquet

Dates du 16 au 20 avril 2013

Lieu : Bain. St. Michel (5300 St Dominique, coin Maguire),

Horaire : du mardi au samedi à 20 h 00

Billets : Contribution volontaire

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presse

a surreal journey…  weird, but beautifully so… engaging and genuinely creepy … The cast is exceptionally strong, each member bringing a genuine spark to the different characters they portray and interacting with one another effortlessly. …a worthwhile, relevant piece of theatre.
Andrea Stanford
www.bloodyunderrated.net,  April 18, 2013

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Au-delà de la reconstitution d’une histoire démembrée, l’obscurité règne dans l’expression corporelle et la chorégraphie de comédiens profondément ancrés dans le fondement de la pièce. Une peur, déchirante, innommable et macabre s’allie aussi à un éclairage violent au néon et des objets rouge sang. Tandis que le temps avance, on comprend très bien cette paralysie de l’inconnu sans savoir le synthétiser. La clôture nous tire enfin vers le néant de l’étrangeté de notre propre existence, les théories de l’après-vie, et notre grande incertitude fondatrice.
Samar Besada
www.in-visibles.com, April 23, 2013

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Quelquefois, on gagne son siège comme on retrouve une peur d’enfance, malaise fidèle qui ne quitte jamais vraiment la gaine de nos os. On s’y réinstalle avec une forme de confort, celle d’un cauchemar qu’on croirait aujourd’hui apaisé et tranquille, dompté qu’il serait par la distance, l’âge et l’habitude. Pourtant, l’effroi s’épand avec l’éternelle même aisance dans les replis familiers de nos cerveaux.
Martin Hervé
www.artichautmag.com, April 23, 2013

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